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Notes jetées ici sans preuve, 1
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Voici l’idée : ça fait vingt ans que j’argumente sur la Toile, en général poliment, consciencieusement, avec force détails et le plus honnêtement possible. Désormais j’assommerai — et si j’ai le temps j’argumenterai, et seulement si ça m’apporte à moi quelque chose.
« Sans preuve » ne veut pas dire « malhonnêtement ».
Ainsi dans certains cas le lecteur aura-t-il un effort à faire pour comprendre en quoi telle phrase que je cite recèle une absurdité en elle-même ou par rapport à une autre (comme dans NSP 7 ou dans NSP 10, où je ne dis pas en quoi le mot « assaillant » est inadéquat), alors que, il y a peu, j’expliquais tout ou presque : en d’autres termes, je donnais la solution, c’était confortable pour le lecteur.
Le titre Notes jetées ici sans preuve (NSP) est peut-être provisoire ; ce qui est définitif, c’est le changement de ton (plus offensif et plus familier) et de méthode (allégée).
• 16 mars 2020
NSP (note jetée ici sans preuve) 1. – Macron
Le stagiaire Macron.
• 17 mars 2020
NSP 2. – Macron
Macron, le très mauvais mélo.
Mais que fout-il à ce poste ?
• 30 mars 2020
NSP 3. – La presse jamais aussi mal écrite
La presse écrite gratuite de la Toile n’a jamais été aussi mal écrite, aussi bâclée que depuis le début du confinement (17 mars) : Lemonde.fr, Lefigaro.fr, Leparisien.fr, Lci.fr, Valeursactuelles.com (faux rebelle ou rebelle sans talent),... Pareil pour sa soumission paresseuse, heureuse, imbécile et maladroite aux gouvernants (moins de soumission chez Valeursactuelles.com, mais la qualité des articles n’est pas bonne, ça sent le journalisme racoleur et paresseux). Déclin aggravé.
Découvert à quel point La-croix.com est nul, ennuyeux et sans saveur.
La partie gratuite de cette presse étant bâclée ou inintéressante, qui aura envie d’essayer la partie payante ? Le gratuit est supposé être un miroir du payant.
Chez Liberation.fr rien de changé, la page d’accueil est toujours aussi surchargée, illisible, donc répulsive. Maquette bien ratée.
Mise à jour. Diagnostic confirmé en fin d’avril.
Mise à jour, 26 mai 2020. Voir la NSP 40, « Deux articles de clowns », le pire du pire.
• 29 avril 2020
NSP 4. – Raphaël Enthoven le creux, 1/2
Toujours aussi insignifiant, mais toujours aussi sûr de soi, infatué, poseur, tronche en biais et godillot, Raphaël Enthoven, celui que les médias appellent « le philosophe ». Ici avec son distinguo, hérité des faux lexicographes et faux synonymologues du XIXe siècle, entre « continuer de » et « continuer à ».
Raphaël Enthoven à https://twitter.com/Enthoven_R/status/1255411608618250241 :
Il [Olivier Véran] répond à tt le monde (même à @RoyalSegolene), il ne prétend pas tout savoir, il ne cède ni aux sirènes des gourous ni à l’opinion publique, et il écrit, à juste titre, « continuer de » pour parler d’une habitude... Où sont les défauts d’@olivierveran ?
Il cite ensuite le tweet d’Olivier Véran du 28 avril :
Protéger, tester, isoler. Dès le 11 mai, le déconfinement sera mis en œuvre de manière progressive, en fonction de la situation de chaque territoire. D’ici là, pas de relâchement : il faut continuer de respecter les gestes barrières qui font reculer l’épidémie !
Selon le dictionnaire de Littré, pas de distinguo :
• continuer à, continuer de
D’après l’Académie, on doit se servir de continuer à quand il s’agit d’une action commencée et que l’on continue, et de continuer de quand il s’agit d’une action qu’on a l’habitude de faire.
Cet homme, tenant son verre, continue à boire ; c’est-à-dire il achève ce qu’il avait commencé ; mais cet homme est un ivrogne, et, malgré ses promesses, il continue de boire, c’est-à-dire il persiste dans ses habitudes d’ivrognerie. Mais cette distinction, qui n’est pas fondée sur le sens des prépositions à ou de, ne l’est pas non plus sur les exemples des auteurs qui usent, ou indifféremment ou suivant l’oreille, des deux prépositions. Laveaux [1749-1827, grammairien et lexicographe français] voulait que à indiquât une intention dirigée vers un but, et qu’on se servît de la préposition de quand rien n’indiquait un but, une intention ; cette distinction, fondée sur la conception abstraite des rapports exprimés ordinairement par à et de, n’est pas appuyée par l’usage.
Source : https://www.littre.org/definition/continuer.
Selon le Dictionnaire de l’Académie, pas d’autre distinguo que le niveau de langue :
continuer à ou, litt., continuer de, suivi de l’infinitif, persister à, ne pas cesser de. Il faut continuer à travailler. La pluie continuait de tomber. Le mal continuait de se répandre.
Source : https://www.dictionnaire-academie.fr/article/A9C3851.
Selon nous idem.
Qu’Enthoven retourne se regarder dans la glace (comme Macron le fait depuis son allocution du 16 mars et son invraisemblable flop « Nous sommes en guerre », auto-giflage magistral qui l’oblige à se reconstruire et à se faire discret ; son assurance l’a perdu ; je ne pourrais, hélas, pas mieux l’exprimer qu’en ces termes vulgaires : ce jour-là, Macron a pété plus haut que son c...).
Mise à jour. Voir les NSP 38 et NSP 75.
• 30 avril 2020
NSP 5. – Alexis Cossette
Un journaliste intéressant et très sympathique (rien à voir avec Enthoven donc) et qui probablement vous prendra à contrepied : https://www.youtube.com/watch?v=KZSIoO7sXJQ (sur le CoViD-19).
(Nous lui pardonnerons aisément ses fautes de langue, à lui qui n’est ni payé pour mentir ni pour nous embabouiner.)
Le type le plus sympathique de la Toile est un Canadien.
(Les Canadiens disent « la CoViD », peut-être plus logique, et non « le CoViD ». Idem chez les Espagnols.)
Mise à jour. Sa dernière vidéo, le 6 mai 2020 : https://www.youtube.com/watch?v=NBiLclR5cts&feature=youtu.be, sur le « jeu de Trump » et l’entente paradoxale Trump-Xi.
• 1er mai 2020
NSP 6. – Macron encore lui
• Hé non ! Macron n’a pas compris qu’il devait se taire pour un bon moment. Voir son allocution de 2 minutes 34 d’aujourd’hui 1er mai sur Elysee.fr (https://archive.vn/pZKIg). Quelques extraits.
Même si le maximum a été fait pour que le muguet du 1er-Mai puisse être vendu, partagé, beaucoup de ce qui est normalement fait n’a pas été possible et demeure interdit.
Le plus interdit, l’estomaqué, c’est moi. On remarquera, entre autres, le mot « partagé » : comme si cet homme s’était jamais soucié de partage, cet égocentrique qui ne fait que soustraire, prendre et arracher ! Je dirais « indécent » si ce mot n’était pas si galvaudé.
Et, sur un ton triste, compatissant, il ose encore :
Aujourd’hui, pas de rassemblement dans nos villes pour fêter comme nous le faisions depuis tant d’années la journée internationale des travailleurs.
« Nos villes », ça passe ; « fêter » passe mal et « journée internationale des travailleurs » passe mal aussi ; mais ce qui ne passe pas du tout et nous fait bondir, c’est ce « nous » dans « comme nous le faisions ».
Vous imaginez, lecteur, le banquier d’affaires Macron dans une manif du 1er-Mai ?
Ce type ne connaît pas les limites de ce que nous pouvons supporter. Autour de lui on doit savoir, mais lui ne sait pas. Se tromper, se gourer à ce point-là confine à la sottise.
(Rappel pour ceux qui liront dans longtemps : les manifestations ont été interdites ce jour-là pour cause de confinement anti-CoViD-19.)
• Chez Macron, le verbe tenir est un remplace-tout idiosyncratique :
Je veux avoir une pensée en ce jour pour les organisations syndicales qui ne peuvent tenir les traditionnels défilés.
Un défilé se tient ou, mieux, a lieu, mais on ne tient pas un défilé.
Dans sa paresse d’expression, Macron utilise souvent le verbe tenir (comme le verbe porter, remplace-tout à la mode, qui n’est pas particulier au président). En revanche, dans sa phrase...
C’est bien grâce au travail, célébré ce jour, que la Nation tient.
... tenir est employé correctement, et on ne peut lui reprocher que sa désagréable imprécision (l’imprécision est une constante macronienne).
Revenons sur cette phrase :
Je veux avoir une pensée en ce jour pour les organisations syndicales qui ne peuvent tenir les traditionnels défilés.
Pour parfaire cet émouvant tableau, il manquait une pensée pour les gilets-jaunes, qui ne pourront pas défiler non plus, gilets-jaunes qu’il a bien fait matraquer, gazer, estropier et énucléer entre le 17 novembre 2018 et le 17 mars 2020, début du confinement (car, dans son insolente assurance, Macron nous croit sans mémoire et sans rancune envers lui).
• L’habituel charabia constrictor (le genre de charabia qui laisse l’auditeur coi et pensif et le décourage d’en entendre plus, qui lui fait tomber les bras et lever les yeux au ciel) :
Je sais toutes les contraintes qui pèsent sur les joies qui accompagnent normalement ce jour si symbolique.
• Revenons également sur ces mots qui constituent le titre de la page de l’Elysée (https://archive.vn/pZKIg) : « Grâce au travail, célébré en ce 1er mai, la Nation tient. » Le 1er-Mai servirait donc à célébrer le travail ? Et pourquoi pas l’exploitation de l’homme par l’homme ou l’exploitation des gouvernés par les gouvernants ?
• Dernière remarque de langue, il nous a refait le coup usé de l’anaphore (« Nous sommes en guerre », six fois le 16 mars 2020) avec trois fois « Ce 1er mai 2020 ne ressemble à aucun autre ». Mais quelle tête à claques ! Pas d’autre mot, je crois, ne convient ; on dirait qu’il vient de découvrir cette figure de style.
• Remarquez ses mains très bronzées, et plus bronzées que son visage :
Impossible de me défaire de cette tique Macron, et par un chemin détourné passant par Enthoven, me revoilà parlant de lui. M’étais pourtant promis de ne plus perdre mon temps à analyser la langue de Macron : leçon 1099, « N’avons-nous pas assez démontré ? » (22 décembre 2019).
Autonote_Macron_1er_mai_2020
Mise à jour du 18 mai. Je note que Macron continue à accélérer pour ne pas tomber, mais plus il se débat plus il s’enferre et s’enfonce (discours de Montcornet du 17 mai). Horripilant et grotesque, il joue face à une salle aux trois quarts vide. Hollande était seulement moqué, Macron est haï d’une haine ardente.
Eclairante photo de François Lo Presti sur Liberation.fr : https://medias.liberation.fr/photo/1313870-afp_1rr5mcjpg.jpg?modified_at=1589736536&width=960 (http://archive.vn/l9R0T) ; légende : « Emmanuel Macron à La-Ville-aux-Bois-les-Dizy, dans l’Aisne, pour le 80e anniversaire de la bataille de Montcornet, le 17 mai 2020 » ; l’hypnotiseur Macron, le féticheur d’Amiens, le marabout de ficelle.
• 2 mai 2020
NSP 7. – Gouvernants et médias, ces dingues d’en haut
Leparisien.fr*, ce 2 mai...
• Carte, départements en rouge
Départements dont le déconfinement pourrait être durci [v. image ci-dessous]
• Texte
Dans les départements en rouge, des mesures pourront durcir le confinement.
• Texte
Mardi 28 avril, Edouard Philippe indiquait sur TF1 qu’il sera aussi possible pour les autorités « d’aller fermer, si nécessaire, un certain nombre de commerces, de lieux extérieurs ».
• Texte
Pourquoi un département est-il considéré comme « rouge » ? Cela signifie qu’il est mal classé dans un moins un des deux indicateurs suivants :
— le taux de passages aux urgences pour suspicion de Covid-19 par rapport au nombre total de passages ;
— [...].
————
* http://www.leparisien.fr/societe/coronavirus-mon-departement-est-en-rouge-qu-est-ce-que-cela-implique-02-05-2020-8309481.php (archive : http://archive.vn/wip/6FgDl)
• 2 mai 2020
NSP 8. – Régis de Castelnau
Jolie formulation de Régis de Castelnau : « les journaux officiels de la flagornerie, Paris Match et Gala ».
L’affaire de la vente de mobilier national au profit de la fondation privée de Brigitte Macron serait la énième preuve de l’outrecuidance macronienne, outrecuidance polie en général qui lui permet de passer crème : c’est l’entregent du beau gosse représentant de commerce qu’est Macron.
N. B. Selon Frédérique Dumas, députée des Hauts-de-Seine et ex-membre du groupe parlementaire LREM, le chef de l’Elysée est Alexis Kohler, et non Macron : Kohler « prend 80 % des décisions ». Elle reconnaît qu’on puisse parler de « pathologie » à propos du psychisme du poseur d’Amiens. Elle est fatigante avec ses « Ça n’existe pas ! », entre autres tics de langage (ses « effectivement », par exemple).
Vidéo : https://blogs.mediapart.fr/jean-marc-b/blog/270420/une-ex-deputee-lrem-revele-les-dessous-de-la-macronie.
N. B. Nous avons très brièvement analysé la langue de Brigitte Macron dans la mise à jour du 17 janvier 2020 de la leçon 633. (À noter : dans le Paris Match du 30 avril au 6 mai 2020, Brigitte Macron visant entre autres le traitement du CoViD-19 prôné par le professeur Raoult déclare : « Aucun traitement à ce jour ne marche. » N’a-t-elle pas en disant cela ruiné son tout petit capital de sympathie pour soutenir son mari alors qu’elle aurait pu se taire ou nuancer ! Boulette, mais peut-être pas aux yeux des lecteurs de Paris Match.)
• 3 mai 2020
NSP 9. – Le poison mortel de l’amateurisme généralisé
Un peu hors sujet.
L’amateurisme est partout, il est envahissant, c’en est effrayant : il n’est pas seulement chez Macron et ses godillots (c’est là le pire des amateurismes et la cause de presque tous les autres, et on dirait qu’il est devenu le modèle de tout ce qui se fait en France dans le public comme dans le privé), et je l’ai trouvé dernièrement trois fois chez mon pharmacien ; aujourd’hui sur le site de la préfecture de Paris, qui bogue ; dans la grande presse encore et encore, incapable — j’en ai cent exemples récents — de relayer clairement des informations (en plus d’être une asservie volontaire),... Ce n’est pas nouveau, mais aggravé, et désormais presque tout est bancal et sans rigueur. J’en pleurerais de rage et d’impuissance.
Et Macron le constrictor prétend que « la nation tient » (voir NSP 6 ci-dessus) : il n’en est rien et il le sait parfaitement, et je me demande s’il ne s’en réjouit pas, car je sens chez lui (comme dans une partie du personnel politique actuel, de tout bord) une volonté de punir le peuple, une âme de tortionnaire.
Cette idée que nos gouvernants actuels sont des tortionnaires ne m’est pas nouvelle, j’en ai parlé dans la leçon 565, en septembre 2018 (« Nous ne vivons plus dans une sorte de dictature molle, nous sommes gouvernés par des tortionnaires, par des gens résolus à nous en faire baver un maximum ») et dans la leçon 1079, en décembre 2019 (« C’est la première fois qu’un président et son gouvernement sont aussi antipeuple, au point qu’ils en sont les tortionnaires : prompts, acharnés, incessants, méthodiques »).
« La nation tient » contient peut-être cette pensée cachée de triomphe : « Jusqu’à aujourd’hui je la tiens, et personne n’a encore pu me renverser ! » ; il n’est pas rare qu’un hypocrite trop sûr de soi comme l’est Macron laisse échapper ou entrevoir la vérité.
Hypocrite est un mot que jusqu’ici je n’avais pas utilisé pour décrire le poseur d’Amiens, c’est pourtant, réflexion faite, un des mots qui (avec entre autres outrecuidant et poseur) le décrivent le mieux ; c’est son allocution du 1er-Mai* qui m’a convaincu de l’employer.
Mise à jour, 13 mai 2020. Céline, Voyage au bout de la nuit (coll. Folio p. 69) :
Nos tyrans d’aujourd’hui [...] ne peuvent penser au peuple que par intérêt ou sadisme.
————
* Remarque typographique : les lettres dites supérieures (1er-Mai) font augmenter l’interlignage de la ligne qui précède. Le moyen d’y remédier ?
• 4 mai 2020
NSP 10. – Vous commencez à sérieusement nous fatiguer, les journasots
— Vous commencez à sérieusement nous fatiguer, les journasots, avec vos « assaillant » :
Madame Breyton ne peut plus passer devant sa boucherie, cours Pierre Didier à Romans-sur-Isère. Ce lieu qu’elle aimait tant et qu’elle gérait depuis 25 ans lui donne aujourd’hui de terribles angoisses. L’une des victimes de l’attaque au couteau du 4 avril y est morte poignardée, sous ses yeux, avec l’un des couteaux de la boucherie. L’assaillant, un réfugié de 33 ans d’origine soudanaise, a sévi en pleine journée, peu avant 11h. Dans les rues et les commerces du centre de Romans, il a tué deux personnes et en a blessé cinq autres.
Cela dit et protesté, ce genre d’article est utile, très utile, d’autant plus utile qu’il est rare que les journasots suivent les victimes, ils les oublient. Comme les lecteurs, s’ils gardent la mémoire des actes ponctuels, ils en négligent les séquelles lourdes, physiques et psychiques, terriblement durables, récurrentes et viagères.
https://www.francebleu.fr/infos/societe/attaque-de-romans-un-mois-apres-les-rescapes-peinent-a-se-relever-1588431675 (archive : http://archive.vn/wip/KmXXt)
— Idem avec vos « tracking » et vos « tracing ». « Traçage » ne vous suffit pas ? on veut faire l’élégant ? Pareil avec vos « cluster », mot qui peut être simplement remplacé par « foyer » (trop banal ? ils s’en fichent bien, de ne pas être compris de tout le monde).
Mise à jour
— Mme G. me dit que c’est Macron qui a lancé la mode du remplace-tout porter.
Elle me demande ce que j’entends par « des séquelles viagères ».
Voici :
• viager, ère, adj.
DR. CIVIL. Qui dure pendant la vie d’une personne déterminée.
Revenu viager ; fortune viagère. « Mademoiselle Lalouette avait, pour vivre avec ses quatre chats, une pension viagère de quinze cents francs » (A. France, Bergeret, 1901, p. 55).
https://www.cnrtl.fr/definition/viager
— Des journalistes confondent mot-valise et mot remplace-tout ou mot fait-tout, comme André Berkoff ce 7 mai sur Sud Radio (qui est et reste cependant la moins conne des radios de large public, la moins insupportable).
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Dossiers
• Le style c’est l’homme, analyse de l’expression macronienne ici
• Lesdites « Rectifications de l’orthographe » de 1990, analyse d’un cafouillage ici
• Le style déplorable des historiens ici
• Le piège de la locution « sauf à » ici
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