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Notes jetées ici sans preuve, 45
• Mélanges •
Mélanges est la fusion provisoire de « Notes jetées ici sans preuve » (sur la langue et sur les médias)
et de « De l’Opération CoViD-19 » ; s’y ajoutent quelques autres faits d’actualité,
comme les manœuvres visant à restreindre la liberté d’expression, la guerre en Ukraine,...
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Mélanges, mars 2023, XXX
1. — 1er mars. Il y a quelques jours, Macron au salon de l’agriculture. Toutes ces caresses, tous ces attendrissements annuels sont hypocrites et indécents aux yeux de qui a conscience que ces animaux vont se retrouver dans une assiette. À moins que ce ne soit une manifestation de pitié, ce qui n’est certainement pas le cas pour Macron ni pour tant d’autres présidents et personnalités politiques.
Ces caresses lui vont bien, qui de plus escroc que Macron ?
2. — LANGUE, à propos de la scie pré carré. Littré :
• faire son pré carré, s’arrondir, en parlant d’un propriétaire qui accroît son domaine, d’un prince qui gagne des territoires.
« Sérieusement, monseigneur, le roi devrait un peu songer à faire son pré carré », Vauban, Lett. à Louvois, 19 janv. 1673, dans Journ. des Débats, 27 avr. 1862.• s’arrondir, v. réfl. [...]
Fig. Étendre ses domaines. Le plaisir de s’arrondir. Sa fortune s’arrondit, elle s’augmente.
3. — LANGUE, touchy. « C’est touchy [toutchi], ce que je vais vous dire. » C’est délicat, pas facile à dire, politiquement incorrect – et, en plus, c’est annoncé en anglais.
4. — Macron, on le renvoie d’Afrique, et il dit que c’est lui qui veut partir.
5. — LANGUE. Chacun connaît le verbe circonvenir et peut être amené à se demander si circonvention est le mot dérivé adéquat : il n’existe pas dans l’édition actuelle du Dictionnaire de l’Académie, la neuvième, on le trouve dans la septième, de 1878, et il disparaît ensuite.
Dictionnaire-academie.fr, 9e édition, actuelle :
• circonvenir
[...] Emprunté du latin circumvenire, « venir autour », d’où « assiéger », puis « tromper ».
Agir auprès de quelqu’un avec ruse et artifice pour l’amener à faire ce que l’on souhaite de lui. Il a circonvenu ses juges. Elle ne s’est pas laissé circonvenir.Dictionnaire-academie.fr, 7e édition :
• circonvention
[...] Tromperie artificieuse. User de circonvention. Il est peu usité.Littré :
• circonvention
(sir-kon-van-sion ; en poésie, de cinq syllabes)
[...] Action de circonvenir, tromperie.
N. B. C’est une des particularités du dictionnaire de Littré d’indiquer le nombre de pieds de certains mots ; à ma connaissance, aucun autre dictionnaire non spécialisé dans la versification ne le fait.
6. — Sécurité informatique, communication. Un bon pare-feu gratuit pour ordinateur sous Windows si j’en crois Christian Combaz : « Il assure votre sécurité en bloquant les logiciels espions, les virus, les attaques externes et tous les malwares. Son installation est simple et les options sont clairement indiquées : la prise en main est donc rapide », selon le site de téléchargement.
7. — Santé, vaccins, vaccinomanie. « Tous vaccinés, tous emmerdés », ma réponse à Macron lançant sa campagne de vaccination contre le papillomavirus.
8. — LANGUE, promenette, déambulateur. Littré :
• promenette, s. f.
Petit appareil roulant, à hauteur d’appui pour les jeunes enfants, qui, placés à l’intérieur, le font avancer par leurs mouvements, sans courir [le] risque de tomber.
On dira aujourd’hui déambulateur pour enfant.
Remarquer les télescopages, les heurts de mots dans deux définitions ci-dessus : promener/courir, pré carré/arrondir (alinéa 2).
9. — LANGUE, affiche de l’académie d’Aix-Marseille dans un établissement scolaire.
La mise en scène typographique de « Sui-cide » est, pour tout dire, granguignolesque, et confine à l’humour noir. Quant à la formulation « Un collègue autour de vous », elle est aussi grotesque que celle-ci : « Il se mit autour de la table ».
Les amateurs toujours aux manettes.
10. — LANGUE, nain. Barbarisme.com (ou « Abécédaire raisonné du néo-crétinisme ») m’écrit :
Incroyable, mais vrai : la même censure [woke] s’applique aux animaux. En écoutant une chronique consacrée aux animaux, j’ai appris qu’on ne dit plus « animaux nains » (poules, cochons...), mais « animaux miniatures » ; chronique « William à midi » (C8) du 1er mars 2023.
Noter toutefois que, le mot miniature étant en général appliqué à des objets, l’animal est ainsi réifié, chosifié.
11. — 2 mars. Hier, je parle avec un Américain vivant à Paris et je lui dis : « Macron est une ordure. » Il me surprend quand il répond : « Bien plus que ça ! » Moi : « Quel est le mot adéquat selon vous ? » Il réfléchit, ne trouve pas le mot, il est anglophone, je suggère : « Satanique ? » « Oui. » Nous sommes d’accord. Issu d’ailleurs, l’Américain voit sans la taie oculaire des médias.
12. — Pourquoi ce touite a-t-il rencontré le succès alors que j’en ai fait de bien meilleurs qui furent complètement ignorés ? Mystère. Ne jamais rien conclure avant d’avoir compris. Le touite en question était adressé au ministre de la Santé François Braun vantant le vaccin anti-papillomavirus :
Inutile d’insister lourdement, on n’accorde plus le moindre crédit au gouvernement quel que soit le sujet. La politique est morte lors de l’avènement du furieux d’Amiens en 2017.
Quoi qu’il en soit, toute confiance qui est perdue est perdue sans retour et on ne verra plus la politique que comme une entreprise de sabordage national.
13. — LANGUE, successeuse. Francetvinfo.fr :
Sergueï Lavrov, le chef de la diplomatie russe, l’a encore martelé lors d’un discours de propagande prononcé (en anglais) le 10 février, affirmant que les autorités de Kiev sont les « successeuses de Stepan Bandera ».
14. — LANGUE. Twitter invite à un style quasi télégraphique qui soit néanmoins clair. La sécheresse n’est pas sans qualités, elle peut être tonique et tonifiante.
Exemples.
• Ne jamais relâcher la pression sur le petit peuple et lui faire vivre un enfer quotidien. Nos tortionnaires.
• Les Français, écrasés, portent le poids de Macron sur leurs épaules. Des tonnes.
N. B. J’ai toujours dit et écrit sécheresse ; curieusement le Dictionnaire de l’Académie accepte sècheresse et sécheresse et privilégie sècheresse : « La région a été durement éprouvée par la sècheresse » (sous l’entrée éprouver). Littré ne connaît que sécheresse.
15. — LANGUE, mainstream, meanstream. Un commentateur maladroit fustige les journalistes de la « doxa », du « narratif » politiquement correct et écrit par erreur « les journalistes meanstream », ne pensant pas si bien dire.
Parmi les acceptions de mean : piètre, bas, mauvais, malveillant, usé, élimé,...
16. — LANGUE, « cet harceleur », 3 mars. « CNews, vous êtes vraiment les plus mauvais, vos citations sont souvent inexactes, arrangées & vous y ajoutez vos fautes de français. Quand cesserez-vous d’embaucher des bâcleurs & des illettrés pour rédiger vos touites ? »
Karim Zéribi, qui est cité par CNews, dit correctement « ce harceleur ».
17. — Composter les morts, manger des insectes, restreindre la consommation d’eau (en filigrane dans la pensée de Macron) font penser au roman de Harry Harrison traduit sous le nom de Soleil vert.
18. — LANGUE. Dictionnaire.reverso.net, le site lexical le plus invasif, le plus importun et crampon, le plus décevant, le plus mauvais que je connaisse. La plaie des recherches lexicales sur la Toile.
19. — LANGUE, 1/2. Je cherche en vain un mot, il commence par oxy, il signifie « précision dans les mots, sens aigu de la précision lexicale, souci de la précision sémantique »,...
Il existe, il est rare et je suis persuadé de l’avoir rencontré dans un Petit Larousse du tout début du XXe siècle. Le mot finit probablement en isme ; je ne l’ai jamais utilisé et je ne l’ai jamais rencontré ailleurs que dans ce dictionnaire.
Ça me reviendra peut-être.
Rien trouvé, pas même ici : Stella.atilf.fr.
20. — LANGUE, 2/2. J’ignore si le mot que je cherche est un faux souvenir, mais sur Twitter un lecteur me propose acribologie, que je connais, mais utilise très peu (note 17, alinéa 13), qui correspond à mes définitions ci-dessus. Il est ainsi défini ici :
• acribologie, féminin
(Rare.) Choix rigoureux du mot, précision dans le style.
Surpris qu’acribologie soit absent de Stella.atilf.fr ; absent également du dictionnaire de Littré, de celui de l’Académie,... En revanche on le trouve dans ce dictionnaire dont j’ai dit beaucoup de bien, le Nouveau Larousse illustré de 1897-1903, en huit volumes (v. alinéa 4, leçon 877,...), avec la même définition que ci-dessus, mais curieusement – à coup sûr une coquille – avec la mention « n. m. ».
Je continue à rechercher le mot ou celui avec lequel je l’aurais confondu.
21. — 3 mars. On pense à la Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Bœuf : cette photo n’est pas une fable, elle est authentique et se trouve sur le compte Twitter de Macron (https://archive.is/0nzaY) lui-même.
Macron, le grand présibroyeur de la nation française, plastronne, Macron se pousse du col. Il s’est juché sur un piédestal (à vue de nez, de quinze centimètres de haut). On peut raisonnablement supposer qu’il était prévu de couper la photo avant de la publier afin qu’on ne voie pas ses pieds. C’est raté.
« Soyez fiers d’être des amateurs », disait-il en 2020. Penser aussi à BHL et à Sarkozy.
22. — 4 mars. Je relis certaines notes de mon site et je trouve beaucoup de choses assez intéressantes que j’avais oubliées, comme le verbe félir (leçon 877). Déception, comme acribologie, félir est absent de Stella.atilf.fr ; je suppose qu’il se conjugue sur finir : ils félissent (oui, selon Fr.wiktionary.org).
23. — 5 mars. La plupart du temps, les journacloches ne donnent pas de source, ils affirment. En revanche, ils servent de source à ceux qui les citent.
24. — LANGUE, 7 mars. Puisque « emmerder » est autorisé pour parler de certains Français, je ne vois pas pourquoi le bras d’honneur à l’Assemblée serait interdit. Je plaide logiquement et de bonne foi la relaxe de Dupond-Moretti (le ministre de la Justice aurait fait deux bras d’honneur à l’Assemblée nationale : protestations de certains, voir ici).
25. — Depuis le 8 février pour les abonnés payants à Twitter Blue, un touite peut faire jusqu’à 4 000 signes (Numerama.com).
26. — Ensauvagement des élites et bras d’honneur de Dupond-Moretti : non seulement les élites ne font rien contre la racaille, mais elles l’imitent. Penser entre autres au président qui déclare avoir envie d’« emmerder » les non-vaccinés (Macron), au député LREM frappeur (M’jid El Guerrab, affaire du casque), au député LFI gifleur (Adrien Quatennens),…
27. — 12 mars. Par quel prodige Macron l’Ubu de la Phynance et de la Ruyne n’est-il toujours pas destitué ? Par quel prodige, par quel miracle cette bourrique internationale continue-t-elle à plastronner tout sourire et tous crocs dehors à la tête de l’Etat comme aux premiers jours de mai 2017 et que c’est chaque jour que nous mangeons du « chou-fleur à la merdre » ?
(Toute la bavardise, la suffisance, la férocité et tout le cynisme de Macron sont dans Ubu roi.)
• Ubu roi en PDF.
28. — LANGUE. Doit-on récrire Ubu roi ? Acte I, scène 3 : « Tas d’Arabes ! », lance Mère Ubu.
29. — LANGUE. À propos d’un article sur l’adrénochrome (« L’adrénochrome existe bien, mais n’est pas une drogue, elle est synthétisée et vendue légalement »), ci-dessous un exemple de touite imposant aux lecteurs un travail de déchiffrage qui est au-delà de l’admissible et du supportable :
Donc pas fake puisse qu’ici on admet l’effet et notamment son utilisation l’égal au USA !!
30. — Le petit peuple n’a pas encore pu faire entendre tout son dégoût de Macron, son expression est étouffée par les médias, par les politiques et par les syndicats – lesquels médias, politiques et syndicats sont vomis avec un dégoût presque égal.
31. — Pas plus qu’à la volonté de paix en Ukraine de Macron je ne crois à la menace du climat. Je ne crois qu’à la dégradation sans cesse accélérée du climat politique en France et dans le reste de l’Occident ; la menace du climat n’est qu’une grossière arme politique de domination, d’asservissement, d’abêtissement général parmi mille autres.
32. — Quelques médias (exemple) reconnaissent qu’ils se sont trompés sur le CoViD (et non qu’ils ont menti, nuance). Médias, vous n’avez pas fini d’entendre la seule réponse sage qui vous sera faite : ni oubli ni pardon ; jamais l’aveu d’un si grand péché n’emportera son pardon. Que les tartufes et les mystificateurs se le disent !
33. — Une partie de mon site devient le pendant, souvent amélioré, de mon compte Twitter (exemple) ; trop de fers au feu ; mon site m’est aussi un moyen d’archiver certains de mes propos (un compte peut être autoritairement supprimé ou suspendu par Twitter pour de bonnes ou de mauvaises raisons) et de les retrouver très facilement.
34. — Mon site, mon compte Twitter sont des moyens de me prouver que j’existe alors que je n’existe pas.
35. — LANGUE, néologisme. « Les copains et les cokins », écrit Combaz.
36. — LANGUE, 13 mars. L’expression patate de canapé (« personne qui passe une grande partie de sa vie devant la télévision ») est forte et bien trouvée. Il faudrait en trouver une aussi forte pour le genre de personne qui comme moi passe le plus clair de son temps devant un ordinateur à lire ou à commenter.
37. — Le macronisme empeste. Le compte de l’Elysée annonce : « Le Musée-mémorial du terrorisme de Suresnes ouvrira ses portes en 2027. »
Je réponds : « Il n’y a vraiment pas de quoi se vanter, messire Macron, de l’ouverture de ce musée, car c’est votre politique et celle de vos prédécesseurs qui ont apporté le terrorisme sur notre sol. »
Ç’a quelque chose d’indécent. Le macronisme pue le cynisme.
Pour faire juste mesure, j’ajoute cette question rhétorique : « À quand, messire Macron, un musée national de la trahison des élites ? Vous n’avez pas encore fini votre deuxième mandat, mais il est déjà certain que vous en seriez la grande vedette, la figure principale. »
38. — Je ne serais pas surpris que mes problèmes d’ordinateur soient le fait de Macron ou d’un de ses partisans réagissant à nombre de mes flèches acérées. Prochaines étapes, bloquer mon compte Twitter, mon site, ma connexion ?
39. — 14 mars. Logique d’une société de plus en plus malsaine, de plus en plus d’enfants prennent des psychotropes (Lepoint.fr). Peut-être entre autres le « ruissellement » de la déprime des parents aux enfants. Le macronisme mine les esprits, les corps et les choses.
40. — LANGUE, âne, souris. Anne Souyris défenseur des surmulots. « Anne Souyris » est ce que les gens savants appellent un « aptonyme ».
Outre qu’elle défend les rats, rebaptisés « surmulots », et minimise les risques sanitaires dus à la prolifération des rats à Paris, où sévit en ce moment une grève d’éboueurs, Anne Souyris est adjointe au maire de Paris « en charge de la santé publique et des relations avec l’APHP, de la santé environnementale, de la lutte contre les pollutions et de la réduction des risques » (rien que ça).
Comme le macronisme, l’hidalguisme mine les esprits, les corps et les choses : #SaccageParis. Le Parisien entre l’enclume Macron et le marteau Hidalgo.
41. — En dépit du rejet grandissant dont il est l’objet, Macron continue de croire qu’il détient le pouvoir secret d’hypnotiser par sa présence, par son regard, par ses gestes et surtout par ses mots et par sa voix – et chaque jour sur les écrans des médias il nous fait son « Je le veux » (LCI).
Description de la photo pour les utilisateurs de la lecture vocale.
Macron les sourcils levés, les yeux écarquillés, les mains en avant, ouvertes à hauteur du visage prêtes à saisir la proie (LCI).
42. — LANGUE. Lefigaro.fr : « Rejet d’un recours dénonçant l’usage de l’écriture inclusive par la mairie de Paris. [...] “L’écriture inclusive ne méconnaît pas la loi du 4 août 1994 relative à l’emploi de la langue française” ni “aucun autre texte ou principe”, a estimé le tribunal administratif de Paris. »
43. — Nous sommes cernés par la médiocrité, c’est désespérant. Une médiocrité qui s’appuie sur le mensonge permanent pour tenter de se rendre invisible.
44. — 16 mars, LANGUE, adversaire, genre.
• Dictionnaire de l’Académie 8e édition (1925)
• adversaire, n. m.
• Dictionnaire de l’Académie 9e édition (l’actuelle)
• adversaire, nom
Le substantif adversaire était masculin en 1925, il a aujourd’hui les deux genres.
Bientôt « la maire », comme on le lit et l’entend très souvent. Note du Dictionnaire de l’Académie : « La féminisation des noms de métiers et de fonctions se développant dans l’usage, comme l’a constaté le rapport de l’Académie française rendu public le 1er mars 2019, il est à noter que ce nom [maire] peut aussi s’employer au féminin. » L’Académie française ne recommande pas le double genre, mais déclare qu’il est acceptable pour la raison qu’il est répandu : « tyrannie de l’usage », pourrait-elle préciser et rappeler que l’Académie n’est que le greffier de l’usage : jusqu’à quel point ?
45. — Le diagnostic de Zemmour est bon, la France se désarticule, la France disparaît, la France crève.
Quatre-vingt-dix-neuf pour cent des Français le savent, le voient : le problème est que certains s’en réjouissent. Périt la France comme périt Paris sous les coups d’Hidalgo.
46. — 17 mars, LANGUE, hymne national. Hier surprise, la Nupes a chanté la Marseillaise à l’Assemblée nationale.
N. B. Mes remarques sur la Marseillaise (prononciations de « sang impur » sans liaison et de « Allons, Zenfants » avec une liaison fautive ; orthographe officielle,...) : leçons 961 et 962.
47. — LANGUE, l’art du sobriquet. Asselineau décrit l’abhorré Macron comme « le Jupiter des boîtes de nuit » (allusion à ses prestations congolaises récentes).
48. — 18 mars. La politique féroce de Macron nous a menés là où nous sommes, au bord d’un abîme de feu.
49. — Dimanche 19 mars, « La préfecture de #Paris maintient l’interdiction de rassemblement place de la #Concorde ce dimanche, après plusieurs mobilisations marqué[e]s par des tensions », source.
Macron (https://archive.is/QhIue, neuvième touite du fil) le 27 novembre 2020 écrivait : « Liberté de manifester. Quelles que soient les circonstances, chaque citoyen doit pouvoir exprimer ses convictions et revendications à l’abri de toute violence et de toute pression. » Ironie des mots, il ajoutait le même jour et sur le même sujet : « Toujours. Ensemble. Dans la concorde [sic]. »
Nota bene 1 : quand on manifeste contre Macron, quelle est la concorde ?
Nota bene 2 : texte à apprendre par cœur ou à imprimer ; on pourra aussi en faire une pancarte.
50. — LANGUE molle, idées molles, 20 mars. Marine Le Pen :
On ne fait pas preuve de violence dans une démocratie. On peut manifester, on peut faire grève, mais on ne peut pas faire preuve de violence.
« On ne fait pas » : traduire par « on ne doit pas faire ».
« Faire preuve de » : sont-ce les termes adéquats ? non. Traduire par « utiliser » ou « avoir le droit d’utiliser » : « On ne doit pas utiliser la violence dans une démocratie » ou « On n’a pas le droit d’utiliser la violence dans une démocratie ».
On peut en convenir, mais, sous le régime d’une tyrannie permanente, épuisante, quotidienne, obstinée, madame Le Pen, le peuple n’a-t-il pas le droit de « faire preuve de violence » ?
Rien ne l’exprime mieux que l’article 35 de la caduque et défunte Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793* : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs » (ici).
* Note. Ne pas confondre avec la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, en vigueur, ici.
51. — On a repéré Macron dès le 10 décembre 2016 lors de son discours (https://archive.is/GXwVH) de la « révolution en marche ». « Parce que c’est notre projet » a été son premier de cri de fauve, un feulement de rut qui depuis ne s’est jamais tu.
Noter que l’astucieux et artificieux Macron a cru pouvoir étouffer la consternation et éteindre les commentaires en reconnaissant qu’il avait eu « l’air d’un dingue » (https://archive.is/qXpeo).
52. — 21 mars. Un tableau d’honneur pour les quelques LR qui hier ont voté pour la motion de censure. Tandonnet : « Pradié, Emmanuelle Anthoine, Bony, Cinieri, Minot, Boucard, Di Filippo, Cordier, Dive, Dumont, Dubois, Brun, Vatin, Justine Gruet, Schellenberger, Vigier, Josiane Corneloup et Isabelle Valentin : ce soir, ils sont la France que nous aimons. »
Ajouter Vincent Descoeurs (et non Descœurs si j’en crois son site et le site de l’Assemblée nationale ; surprenante graphie à confirmer) ?
On imagine que certains députés ont voté oui par peur tandis que d’autres ont voté non par peur aussi.
53. — La dernière vidéo de Combaz-Campagnol (« Il va finir comme ces dictateurs à qui le jardinier n’obéit plus »).
54. — LANGUE, perruque, poudre blanche, poudré. Lu dans un texte du XIIIe siècle (Jean-Jacques Rousseau ?) : « une perruque poudrée à blanc », perruque couverte de poudre blanche cosmétique. Ces mots décrivant probablement un galantin d’hier, un petit marquis me sont revenus et m’ont fait penser à un de mes contemporains dont beaucoup disent qu’il porte moumoute (ou toupet – artificiel – dans tous les sens du terme) et consomme de la poudre blanche.
55. — LANGUE, sobriquets. Le moumoutardier du pape et son lieutenant Bornibus.
L’expression étant peu employée, il est bon d’en rappeler la signification :
• Il se croit le premier moutardier du pape, se dit d’un homme médiocre qui a une grande opinion de lui-même, qui se donne des airs importants.
56. — LANGUE, baser, 1/2. Dictionnaire de l’Académie :
• basé sur
L’emploie [sic !] du verbe baser a fait l’objet de longs débats. Littré le considérait comme un néologisme inutile. [...] On s’accorde aujourd’hui pour employer baser sur dans le domaine militaire et l’y réserver : Des troupes ont été basées sur la frontière. On évitera donc l’emploi figuré, transposition de l’anglais based on, qui s’est abusivement répandu, et on lui préfèrera des synonymes comme Fonder, Établir ou Asseoir.
Archive.
L’impression que l’Académie force le trait pour convaincre. Non, Littré ne dit pas que c’est un néologisme inutile :
• baser
Fonder. Il n’est d’usage qu’au figuré. Baser un système sur des faits.
Se baser, v. réfl. Se fonder. C’est là-dessus qu’il se base.
Ce mot est un néologisme fort employé présentement, et qui n’a rien de condamnable en soi, puisque baser est formé par rapport à base comme fonder par rapport à fond, mais qui est peu utile, puisque baser ne diffère pas sensiblement de fonder. Il vaudra donc toujours mieux, en écrivant, se servir de fonder que de baser.
On notera aussi que l’Académie préfère « préfèrera » à « préférera ». Conséquence des « Rectifications de l’orthographe » de 1990.
Je ne rejette pas baser sur au sens figuré, qui est neutre, alors que fonder sur est mélioratif. En ce qui concerne le sens propre de baser (le seul sens qu’elle accepte), l’Académie écrit : « Baser des troupes sur divers points du territoire. La flotte basée dans le Pacifique, les unités basées aux frontières orientales ».
57. — LANGUE. Dictionnaire de l’Académie, de la rigidité (voir l’alinéa 56) au laxisme :
• dentition
[...] S’emploie aujourd’hui dans le sens de Denture, mais ce dernier terme est préférable.
« Préférable » est un mot faible, trop faible.
58. — LANGUE, baser, 2/2.
Le verbe baser est présent dans l’édition de 1798 et disparaît des trois éditions suivantes, probablement sous la pression et sous l’influence persistante de Royer-Collard (« S’il entre, je sors ») ; il a réapparu dans l’édition actuelle. Voici la définition de l’édition de 1798 :
• baser, [v. t.] qu’on emploie depuis quelque temps, et plus au figuré qu’au propre. Fonder, établir sur une base solide, donner une base. On doit baser un impôt sur la consommation habituelle. Ce système est basé sur des faits constans.
On l’emploie quelquefois avec le pronom personnel, au sens de Se fonder. Il faut, en matière de Gouvernement, se baser sur les verités démontrées, et non sur des opinions variables.
59. — LANGUE, orthographe et prononciation, 22 mars.
S’entretenant ce jour avec deux journalistes (vidéo), le banquier Macron malmène les nombres, et prononce « vingt euros », « deux cents euros » et « cent euros » sans faire les trois liaisons indispensables. Il fait bien la liaison dans « quarante-trois ans ». « Solennité » est prononcé « solènité » au lieu de « solanité » et « maintenant » est prononcé métnan (l’accent amiénois ?).
Comment prononce Macron, voir aussi les leçons 496, 596 et 825 (mise à jour du 15 mai 2019) ici.
60. — Mettre le monde cul par-dessus tête, inventer une aberration par jour, s’en glorifier comme d’un immense progrès.
En décembre 2016, l’illuminé de Versailles se disait « la révolution en marche » (alinéa 50), il est en passe de réussir.
61. — LANGUE, 23 mars. LCP : « Pour @priscathevenot, Emmanuel Macron “s’est adressé à l’ensemble des Françaises et des Français en responsabilité”. »
Ils commencent à nous les gonfler mafflu et à nous les briser menu, Thevenot, Macron et consorts, avec leurs « en responsabilité ». Idem quand ils portent à toutes les sauces. De mémoire, trois fois « en responsabilité » prononcé par Macron lors de l’entretien d’hier.
« J’ai agi en responsabilité » et « J’assume » sont des armures de sainteté que le politicard enfile prestement dès qu’il est mis en difficulté ou lorsqu’il est à quia pour sa défense. Les appeler aussi des « blanchisseurs de vilain ».
62. — LANGUE, Dictionnaire de l’Académie française. « L’emploie [sic] du verbe baser a fait l’objet de longs débats » (voir l’alinéa 56) : encore une faute ou une maladresse que je ne prendrai pas la peine de signaler au service du dictionnaire de l’Académie, puisqu’il ne me répond pas ou me répond évasivement.
63. — Manifestations. Ça chauffe – au propre comme au figuré – ce jeudi après-midi dans plusieurs villes de France, mais de grands médias comme Figaro.fr et Leparisien.fr n’en disent rien. Un bon compte Twitter à suivre : AlertesInfos.
Le sobriquet « le méprisant de la République » appliqué à Macron se répand sur Twitter. Ça va chauffer à Paris.
64. — LANGUE. Le lendemain de son entretien, Macron (https://archive.is/MfiZu), très critiqué et de nouveau en baisse dans les sondages, écrit : « J’aime notre pays et nos compatriotes. »
Je réponds : « “J’aime [...] nos compatriotes” : étrange formulation, bancaloïde. Pourquoi pas “mes compatriotes” ? car vous excluez ainsi de votre déclaration d’amour chaque compatriote qui vous lit. »
Soyons plus clair. Si je dis à quelqu’un : « J’aime tous les gens qui nous entourent », est-ce que j’inclus la personne à qui je parle ? Non.
« J’aime la France et mes compatriotes » aurait été si simple. Si c’est alambiqué, c’est qu’il y a un loup – et je n’ai vu personne parmi les commentateurs qui croie à la sincérité de Macron.
Il ajoute : « Voilà pourquoi je suis à l’œuvre [sic ; « être à l’œuvre » est ridiculement élégant et sent son petit marquis] pour faire ce que nous devons faire. Il y a des moments difficiles qu’il faut assumer. Je suis sûr [sic] qu’on saura s’unir, se réunir pour l’avenir du pays. J’en suis convaincu [sic]. » Méthode Coué.
65. — LANGUE, la presse est assurément le royaume de la fausse citation. Mélenchon déclare sur TF1Info (vidéo) : « [Charles III] représente le peuple anglais aussi longtemps que le peuple anglais n’aura pas fait le nécessaire, c’est-à-dire instaurer une République. »
TF1Info de le citer faussement et en charabia : « [...] autant qu’ils n’auront pas fait le nécessaire [...] ». Deux heures plus tard, TF1Info tente de rectifier : « [...] aussi longtemps qu’ils n’auront pas fait le nécessaire [...] ». La citation reste fausse.
Les exemples sont légion, ce principe reste inconnu de la plupart des journalistes : les guillemets sont censés garantir l’authenticité d’une citation. À citer par-dessous la jambe et à employer les guillemets à tort et à travers, la presse perd un peu plus de sa crédibilité.
66. — LANGUE. Darmanin (vidéo) dénonce « le cynisme [...] et la bordélisation souhaitée par une partie de l’extrême gauche et par l’ultragauche ».
Quand Darmanin utilise le mot vulgaire et arsouille de « bordélisation », ne participe-t-il pas à cet ensauvagement qu’il critique ?
67. —24 mars. CNews.fr : « Réforme des retraites : la visite en France du roi Charles III reportée ». Parfait. Macron veut nous faire croire que ce report vient de lui décidant une fois de plus « en responsabilité », alors qu’il est le fait des Britanniques. Le macronisme n’est qu’un piège à gogols.
68. — Macron s’enferre dans sa guerre contre les Français et contre la Russie. À propos des manifestations : « Nous ne céderons rien à cette violence » ; à propos de l’Ukraine : « Nous allons accélérer à l’Ukraine [sic] les livraisons de munitions et missiles de tout type. »
Plus il se sent détesté, plus il nous provoque. Au dingue qui se venge de ne pas être aimé !
69. — 26 mars. Macron plus déterminé que jamais. En avant quoi qu’il en coûte vers une tyrannie de plus en plus pesante et désinhibée et vers le chaos qui va en résulter (Ladepeche.fr : « Réforme des retraites : d’autres réformes “impopulaires” viendront, déclare Olivier Véran »). Macron est inarrêtable et ne s’en cache pas.
70. — LANGUE, répondre, 1/2. On lit et on entend depuis quelques mois « cette question n’a pas été répondue » ou « des questions non répondues » (au lieu de « il n’a pas été répondu à cette question », « cette question n’a pas reçu de réponse », « des questions auxquelles il n’a pas été répondu »,...), autant de formulations qui blessent l’oreille et qui sont à éviter selon l’Académie (voir ici et ici).
Il faut remarquer cependant que si, se fiant à une mauvaise impression d’oreille et selon l’Académie, il est déconseillé de « répondre une question », on a pu dire ce qui suit selon Littré – entre autres « répondre une lettre », ce qui n’est pas bien loin de « répondre une question » :
• répondre [v. t.]
[...]
Répondre un mémoire, une lettre, y faire réponse.
« Le mémoire [de Stairs] fut répondu de manière qu’on en fut content en Angleterre », Saint-Simon, 438, 112.
« L’éloignement du bureau de la poste me force toujours de mettre un grand intervalle entre les lettres que je reçois et celles que je réponds », Voltaire, Lett. Damilaville, 11 déc. 1767.
« J’ai continuellement un grand nombre de lettres à répondre », Rousseau, Lett. à Mme Latour, 25 déc. 1763.
On entend et on lit aussi « la question est vite répondue », signifiant que la réponse est facile.
Plus de détails ici.
71. — LANGUE, répondre, 2/2. Sous l’entrée pragmatique de Littré on trouve :
L’origine de pragmatique sanction est dans le droit romain : on appela [pragmatiques sanctions], à partir de Constantin et en Orient, les rescrits qui n’étaient pas simplement répondus par les empereurs en marge des suppliques, et qui étaient l’objet d’une expédition spéciale et solennelle.
72. — 28 mars. LANGUE, un, une transgenre. Hier, attentat de Nashville (six morts), dans le Tennessee. L’auteur est une femme se considérant homme. Sur Twitter certains l’appellent un transgenre, d’autres une transgenre (voire une « femme tran[s]sexuelle »). Chacun s’y perd. La folie anglo-saxonne nous perdra tous, et elle perdra d’abord les wokistes eux-mêmes, qui creusent devant eux la fosse dans laquelle ils vont bientôt tomber.
Voir l’alinéa 81 : l’assassin serait donc un transgenre ; cependant dire qu’une femme se disant homme est un transgenre, n’est-ce pas reconnaître, avaliser qu’elle est vraiment et désormais un homme ? Ne serait-il pas plus logique – et plus simple – d’appeler cette femme une transgenre, c’est-à-dire une femelle ayant changé d’appellation sexuelle et se déclarant, se considérant mâle ? Explication : ce sont les transgenres eux-mêmes qui en ont décidé, ils ont choisi les appellations qui leur conviennent et qui favorisent leur idéologie et pourraient le mieux l’enraciner comme une réalité, et pas celles qui seraient logiques et simples.
20minutes.fr dit « un homme transgenre de 28 ans », ce qui peut spontanément se traduire par « un homme qui a changé de genre, qui a transgenré, et qui se dit femme », mais c’est tout le contraire qu’il faut comprendre. Il vaudrait mieux utiliser les mots appellation, dénomination, désignation, voire appellation de civilité ou de courtoisie que le mot genre, mais les transgenristes ont imposé leur logique et leur lexique à la presse : ici le genre.
Labellisation, proposeront les railleurs.
Sexe, genre, homme, femme : c’est devenu une bouillie. (Bouillie épaissie à l’envi par certains wokards qui ne se reconnaissent pas une « identité » humaine, mais animale.)
73. — 29 mars. « Mais bien sûr... », « Ben voyons ! », « On y croit dur »,... Les représentants de nos institutions ont perdu tout crédit. Qui les croit encore ? Ils diraient que nous sommes le mardi 29 mars qu’on vérifierait sur un calendrier.
La perte totale de crédibilité des institutions est un problème très négligé. On subodore l’arnaque, le piège, le mensonge partout.
Un exemple ici (« petit aperçu d’objets saisis par les FDO en marge de la 10e journée de manifestation contre la réforme des retraites »).
74. — Macron a accordé un entretien à Pif (magazine pour enfant dit aussi Pif gadget). Il a dû confondre avec Pif ! Paf !, magazine des forces de l’ordre.
75. — LANGUE. Manès Nadel, 15 ans, syndicaliste lycéen, s’exprime remarquablement plus clairement que certains politicards et journacloches. Que les envieux et les ricaneurs reconnaissent qu’il est très fort et qu’il « maîtrise », comme disent les néo-ploucs (vidéo).
76. — L’abhorré Macron en est réduit à chercher de nouveaux soutiens chez Pif. (Ainsi chacun peut dire au sens propre : « Macron, on l’a dans le Pif. »)
77. — Liberté d’expression. Courrier-picard.fr : une gilet-jaune en garde à vue pour avoir écrit sur sa page Facebook à propos de Macron : « L’ordure va parler demain à 13 heures, pour les gens qui ne sont rien, c’est tjrs à la télé que l’on trouve les ordures. »
Il n’y a plus d’« offense au chef de l’Etat » (Lefigaro.fr) ; le chef de l’Etat a néanmoins toutes les armes et moyens légaux comme illégaux pour nuire à qui ne lui plaît pas.
Selon Lepoint.fr, plainte déposée par la sous-préfecture, la militante sera jugée le 20 juin pour « outrage à personne dépositaire de l’autorité publique » et pour « injure au président de la République ».
Offense, outrage, insulte, injure, injure publique, diffamation, violence et agression verbales,... des distinguos à creuser. Quid du « Casse-toi, pauv’ con ! » de Sarkozy, de l’« emmerder » de Macron et des bras d’honneur de Dupont-Moretti ? En tout cas, l’exemple vient aussi d’en haut.
Mise à jour. Voir aussi Blog.leclubdesjuristes.com : « Le Chef de l’Etat bénéficie-t-il d’une protection spéciale en cas d’insultes sur les réseaux sociaux ? », par Olivier Beaud.
78. — 30 mars. De Sainte-Soline (le 25 mars) à Salines-le-Lac (aujourd’hui). Où Macron à Salines-le-Lac dit que les sifflets et les huées c’est démocratique et normal à condition que ce soit organisé (vidéo).
79. — CoViD-19. Fin de l’obligation vaccinale anti-CoViD pour les professionnels de santé (ici), mais Macron, qui ne lâche jamais sa proie – les Français –, invente le même jour le rationnement de l’eau – un écowaters avec punitions à la clef qui fait pendant à l’écowatt.
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8 mars, innombrables problèmes d’ordinateur, je vais donc réduire le rythme des actualisations pour une durée indéterminée. Quoi qu’il en soit, il serait bon que je modère ma consommation informatique – mon site, mon compte Twitter, la lecture des médias en ligne,... qui ont envahi mon existence (alinéas 34 et 36).
• 15 mars, 21 heures, ne serais pas étonné que mes problèmes informatiques soient en lien avec l’âpreté de mes commentaires sur Macron tant sur mon site, sur son compte Twitter, sur le mien que sur d’autres comptes. Ce jour, Twitter n’acceptait plus mon mot de passe, j’ai pu néanmoins en refaire un ; je m’attends à ce qu’il en soit de même pour la mise à jour des pages de mon site.
Texte de l’image pour les utilisateurs de la lecture vocale.
« Nous ne pardonnerons jamais à Macron d’avoir contraint certaines personnes
à se faire vacciner
avec un vaccin expérimental et d’avoir voulu nous soigner au paracétamol. »
(► * •)
Dossiers
• NOUVEAU. Comment parlait François Hollande ici
• Discours de Macron à l’Institut de France, compte rendu critique approfondi ici
• Le style c’est l’homme, analyse de l’expression macronienne ici
• Lesdites « Rectifications de l’orthographe » de 1990, analyse d’un cafouillage ici
• Le style déplorable des historiens ici
• Le piège de la locution « sauf à » ici
•
Une table des matières du pandémonium LMMRM ici
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https://meteofrance.com/previsions-meteo-france/paris/75000
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LMMRM — Je dédie ce site à Mamette, à Claudine et à mes amis Mondo Huygelen, Jack Bonamy et Tadeusz Matynia